Quoi? Encore?! Oui encore, et si t'es pas contente espèce de caboche mal lunée, c'est pareil.
J'ai le fond de la gorge râpeux, et qui pique. Et je tousse. Oui, pour faire sortir le chat qui se planque derrière mes amygdales en ricanant devant mes pitoyables tentatives visant à le déloger. Lui, il s'accroche fort et moi je crache mes poumons. Sans grand résultat pour le moment d'ailleurs. En plus, il paraît qu'il est fort indélicat pour une femme de se racler la gorge histoire de faire sortir le bon gros truc déguelasse qui t'empêche de respirer depuis deux heures. Ca dénoterait avec une jolie robe et une mine fraîche et dispose, je ne nie pas. Mais actuellement, j'ai plus la tête d'un épouventail croisé avec un lapin atteint de mixomatose, alors on est plus à ca prêt non? Elégant me direz vous, et vous n'auriez pas tort. M'enfin faut savoir appeler un chat un chat, et quand on est malade, on est pas beau.
springsnow
Ca, c'est une petite mine avec une antenne!
Mardi 28 mai 2013 à 22:16
Mardi 28 mai 2013 à 17:49
J'écris bien mieux quand je vais mal. Ceci expliquant cela, je trouve mes derniers articles plutôt moyens. Si si. Celui ci sera donc assurément aussi moyen que les autres, mais ca me convient. Et ces notes...
Oui parce que cette chanson, elle représente beaucoup, trop peut être. Beaucoup de ses chansons comptent pour moi, mais celle la, elle est particulière. C'est en écoutant ces mots que je suis devenue grande. C'est en les comprenant que je me suis rendue compte de ce que l'on a, de cette chance qu'on a tous entre les mains, et qu'on ne devrait pas avoir le droit de gâcher.
C'était l'été, la fenêtre de la voiture était ouverte et le vent fouettait mon visage d'adolescente pendant que j'essayais tant bien que mal de retirer les derniers morceaux de caramels s'accrochant à mon appareil dentaire. Le soleil brillait, et l'air de la mer emplissait mes poumons. J'avais hâte de retrouver le sable, d'y enfoncer mes orteils et de rester la, simplement. Je savais que le soir viendrait sans que je le vois arriver, et comme chaque jour après le repas les parties de rami se poursuivraient jusque tard dans la nuit. Le lendemain, on recommencerait. La douche, toujours trop courte, prise dans la précipitation, pour retrouver les copains plus vite avant de partir arpenter les plages du débarquement. Apprendre, encore et encore, pour ne pas oublier d'ou on vient, pour ne pas laisser les même erreurs se répéter. Je me sentais si petite devant ces croix blanches s'étirant jusqu'à l'horizon. Et toujours, entre chaque halte, c'est sa voix qui me redonnait le sourire. C'était nos quatre voix entamant ses couplets qui me faisaient chaque fois me rendre un peu plus compte de la chance que j'avais, et que j'ai toujours. Au milieu de mes souvenirs, il y a toujours une petite note, une phrase qui se glisse discrètement pour les rendre plus vivants. Et chaque fois, un petit sourire s'installe tranquillement au coin de ma bouche.
"Devine, Devine
Un grand champ de lin bleu de la couleur des larmes
Ouvert sur un pays que seul l'amour connaît
Où tout a des parfums le pouvoir et le charme
Comme si des baisers toujours s'y promenaient..."
Un grand champ de lin bleu de la couleur des larmes
Ouvert sur un pays que seul l'amour connaît
Où tout a des parfums le pouvoir et le charme
Comme si des baisers toujours s'y promenaient..."
Oui parce que cette chanson, elle représente beaucoup, trop peut être. Beaucoup de ses chansons comptent pour moi, mais celle la, elle est particulière. C'est en écoutant ces mots que je suis devenue grande. C'est en les comprenant que je me suis rendue compte de ce que l'on a, de cette chance qu'on a tous entre les mains, et qu'on ne devrait pas avoir le droit de gâcher.
C'était l'été, la fenêtre de la voiture était ouverte et le vent fouettait mon visage d'adolescente pendant que j'essayais tant bien que mal de retirer les derniers morceaux de caramels s'accrochant à mon appareil dentaire. Le soleil brillait, et l'air de la mer emplissait mes poumons. J'avais hâte de retrouver le sable, d'y enfoncer mes orteils et de rester la, simplement. Je savais que le soir viendrait sans que je le vois arriver, et comme chaque jour après le repas les parties de rami se poursuivraient jusque tard dans la nuit. Le lendemain, on recommencerait. La douche, toujours trop courte, prise dans la précipitation, pour retrouver les copains plus vite avant de partir arpenter les plages du débarquement. Apprendre, encore et encore, pour ne pas oublier d'ou on vient, pour ne pas laisser les même erreurs se répéter. Je me sentais si petite devant ces croix blanches s'étirant jusqu'à l'horizon. Et toujours, entre chaque halte, c'est sa voix qui me redonnait le sourire. C'était nos quatre voix entamant ses couplets qui me faisaient chaque fois me rendre un peu plus compte de la chance que j'avais, et que j'ai toujours. Au milieu de mes souvenirs, il y a toujours une petite note, une phrase qui se glisse discrètement pour les rendre plus vivants. Et chaque fois, un petit sourire s'installe tranquillement au coin de ma bouche.
Mardi 21 mai 2013 à 9:45
"Faudra bien que tu en parles un jour" Eh ben non, merde à la fin.
Par contre, hier j'ai regardé mon film éthomagique préféré, d'une oreille et d'un oeil, mais je l'ai quand même entendu.
"Pourquoi ca nous est arrivé?
- Je ne me pose pas ce genre de question. Je n'ai rien cherché, je t'aime c'est tout. C'est quelque chose qui fera toujours partie de moi."
Je crois bien en m'être jamais autant reconnue dans les paroles d'un film. Il n'y avait rien de prémédité, rien de prévu ou de cherché dans cette envie qui m'est venue de me blottir dans ses bras pour ne plus jamais m'éloigner de lui. Je suis une fille plutôt sage habituellement de ce coté la, j'ai rarement laissé mon coeur prendre le dessus sur ma caboche. Mais cette fois, c'était différent. Malgré mes neurones qui me criaient en choeur qu'il ne fallait pas, malgré toutes les raisons qui auraient du me retenir, c'est cette petite flamme bien brillante au fond de moi qui a gagné.
En rentrant de Lille, j'ai regardé les barreaux de ma jolie prison dorée se dissoudre, rongés par cette envie qui cognait dans mes veines d'être contre lui, de pouvoir plonger mon regard dans le sien, et de m'y perdre. Quand je l'ai vu, la à quelques mètres de moi, quand j'ai senti mon coeur battre plus vite, le sourire étirer mes lèvres, j'ai su. C'était il y a un peu plus de deux mois. Et aujourd'hui, c'est toujours la même impatience qui se fait sentir quand le train arrive à la gare, quand je sais qu'il sera bientôt avec moi. C'est toujours la même impression que la terre s'arrête de tourner et que nous y sommes seuls quand il me tient serrée contre lui. Et si ce soir la je ne pouvais pas encore le dire, je sais aujourd'hui que je l'aime comme jamais je n'avais aimé quelqu'un.
Par contre, hier j'ai regardé mon film éthomagique préféré, d'une oreille et d'un oeil, mais je l'ai quand même entendu.
"Pourquoi ca nous est arrivé?
- Je ne me pose pas ce genre de question. Je n'ai rien cherché, je t'aime c'est tout. C'est quelque chose qui fera toujours partie de moi."
Je crois bien en m'être jamais autant reconnue dans les paroles d'un film. Il n'y avait rien de prémédité, rien de prévu ou de cherché dans cette envie qui m'est venue de me blottir dans ses bras pour ne plus jamais m'éloigner de lui. Je suis une fille plutôt sage habituellement de ce coté la, j'ai rarement laissé mon coeur prendre le dessus sur ma caboche. Mais cette fois, c'était différent. Malgré mes neurones qui me criaient en choeur qu'il ne fallait pas, malgré toutes les raisons qui auraient du me retenir, c'est cette petite flamme bien brillante au fond de moi qui a gagné.
En rentrant de Lille, j'ai regardé les barreaux de ma jolie prison dorée se dissoudre, rongés par cette envie qui cognait dans mes veines d'être contre lui, de pouvoir plonger mon regard dans le sien, et de m'y perdre. Quand je l'ai vu, la à quelques mètres de moi, quand j'ai senti mon coeur battre plus vite, le sourire étirer mes lèvres, j'ai su. C'était il y a un peu plus de deux mois. Et aujourd'hui, c'est toujours la même impatience qui se fait sentir quand le train arrive à la gare, quand je sais qu'il sera bientôt avec moi. C'est toujours la même impression que la terre s'arrête de tourner et que nous y sommes seuls quand il me tient serrée contre lui. Et si ce soir la je ne pouvais pas encore le dire, je sais aujourd'hui que je l'aime comme jamais je n'avais aimé quelqu'un.
Samedi 18 mai 2013 à 20:12
Hum...Parlons franchement, je m'emmerde. Bon, que faire? Pondre un bel article totalement inutile mais qui aura au moins le mérite de m'avoir occupée quelques instants. Quand je commence à mettre Michael Buble a fond dans la maison, c'est typiquement que j'aurais bien envie de cavaler partout, mais que l'éventualité de pouvoir le faire est tellement faible que je me contente de m'énerver sur mon clavier. En même temps, quelle idée de merde que de se faire une cloque à chaque talon. Evidemment, pour cavaler, c'est légèrement incommodant. SI si, promis, ca fait mal quand on cours sur une cloque, j'ai testé pour vous. Le mieux, c'est le moment ou tu poses juste le bout du pied par réflexe, paix bonheur sérénité, tu n'as plus mal! Alors la foulée d'après intervient un second réflexe, mais celui ci très con, tu poses tout le pied, et de bon coeur ziou plait...AIE.
Bon sinon, il fait moche. Que j'en ai marre qu'il fasse moche. Un peu de soleil au mois de mai c'est quand même pas demander la lune non? Je pourrais aller faire le lézard dans le jardin au moins, et faire un super barbeuc bien gras qui me permettra de râler ensuite sur l'avancée inexorable d'un transit intestinal perturbé. Ben oui, trop de gras, problème de caca! J'hallucine un peu de voir ce qui s'inscrit sur mon écran, alors que promis, je suis sobre. M'enfin comprenez un peu, impossible de marcher si je veux pouvoir le faire demain, quand on a qu'une envie à savoir se défouler, c'est moyen bof niourf quoi. Déjà que j'ai forcé pour aller voir ma petite Loupiote tout à l'heure...D'ailleurs, la cloque de mon talon gauche le crie très fort a chaque fois que j'oublie que je dois jouer la danseuse étoile. Oh mais ce soir, il y a l'eurovision à la téloch, j'avais presque oublié. Si, moi j'aime bien regardé l'eurovision, parce qu'en général, on se tape de bon fous rire. L'albanaise de l'an dernier n'a sans doute toujours pas fini de ramasser ses cordes vocales sur la scène, mais c'était chou de la voir devenir de plus en plus violette, avec un costume digne d'un grand méchant de dessin animé, ca avait quand même bien égaillé ma soirée. Bref, dans peu de temps vont se poser les deux éternelles questions à savoir "Qu'est ce qu'on mange? " et "Qu'est ce qu'on met à la télé?". Une fois ces deux problèmes existentiels résolus, on pourra passer une soirée peinarde, et potentiellement cesser de se faire chier. Oui oui, ca dépend du programme télé ca. Je le savais bien au fond, ils ont le pouvoir!
Sur ces notes très philosophiques, la première question vient de se poser, ciao!
Bon sinon, il fait moche. Que j'en ai marre qu'il fasse moche. Un peu de soleil au mois de mai c'est quand même pas demander la lune non? Je pourrais aller faire le lézard dans le jardin au moins, et faire un super barbeuc bien gras qui me permettra de râler ensuite sur l'avancée inexorable d'un transit intestinal perturbé. Ben oui, trop de gras, problème de caca! J'hallucine un peu de voir ce qui s'inscrit sur mon écran, alors que promis, je suis sobre. M'enfin comprenez un peu, impossible de marcher si je veux pouvoir le faire demain, quand on a qu'une envie à savoir se défouler, c'est moyen bof niourf quoi. Déjà que j'ai forcé pour aller voir ma petite Loupiote tout à l'heure...D'ailleurs, la cloque de mon talon gauche le crie très fort a chaque fois que j'oublie que je dois jouer la danseuse étoile. Oh mais ce soir, il y a l'eurovision à la téloch, j'avais presque oublié. Si, moi j'aime bien regardé l'eurovision, parce qu'en général, on se tape de bon fous rire. L'albanaise de l'an dernier n'a sans doute toujours pas fini de ramasser ses cordes vocales sur la scène, mais c'était chou de la voir devenir de plus en plus violette, avec un costume digne d'un grand méchant de dessin animé, ca avait quand même bien égaillé ma soirée. Bref, dans peu de temps vont se poser les deux éternelles questions à savoir "Qu'est ce qu'on mange? " et "Qu'est ce qu'on met à la télé?". Une fois ces deux problèmes existentiels résolus, on pourra passer une soirée peinarde, et potentiellement cesser de se faire chier. Oui oui, ca dépend du programme télé ca. Je le savais bien au fond, ils ont le pouvoir!
Sur ces notes très philosophiques, la première question vient de se poser, ciao!
Vendredi 17 mai 2013 à 22:42
Je suis. En soi, c'est déjà plutôt cool.
Lancée au galop sur son dos dans les champs, j'existe, mais surtout, je vis. La force incroyable de ses foulées, sa tête levée fièrement vers l'horizon, le vent sur mon visage, nos rires se perdant loin derrière nous. Je n'échangerais ces moments contre rien au monde.
Quoi, vous vous attendiez à plus? Ben non, ce soir j'ai pas envie :p
Lancée au galop sur son dos dans les champs, j'existe, mais surtout, je vis. La force incroyable de ses foulées, sa tête levée fièrement vers l'horizon, le vent sur mon visage, nos rires se perdant loin derrière nous. Je n'échangerais ces moments contre rien au monde.
Quoi, vous vous attendiez à plus? Ben non, ce soir j'ai pas envie :p