Si si, ce soir je blablaterais bien un peu. Je devrais plutôt dire ce matin d'ailleurs. M'enfin, on ne va pas commencer à chipoter pour une petite demie heure. Je vous parlerais bien d'euphorie, de bonheur, des petites étoiles qui brillent tout au fond de mes yeux, du joli soleil qui daigne montrer le bout de son nez ces derniers jours, bref, de naiserie diriez vous, soyons honnêtes. Niaiserie, c'est comme ca que les gens appellent ce petit nuage sur lequel je suis perchée, et comme de tout la haut je ne les entend pas, ca ne me traumatisera pas.
J'ai remarqué une tendance à sourire plus souvent ces derniers temps, ce dernier mois devrais je dire. Déjà que je n'étais pas franchement d'un naturel à faire la tronche...Mais sourire pour tout et n'importe quoi, ca me plait bien. Enfin, soyons clair, tout et n'importe quoi se manifeste bien souvent quand il est dans le coin. Je suis toujours surprise de sentir mes lèvres s'étirer en un petit sourire sans me demander mon avis quand je sens ses yeux sur moi ou quand je le regarde. Si vous pouviez me voir dans ces moments la, vous parleriez encore une fois de niaiserie. Je vous parlerai d'un sourire vrai.
Oui, en ce moment, tout va bien. Je suis heureuse.
springsnow
Ca, c'est une petite mine avec une antenne!
springsnow
Ca, c'est une petite mine avec une antenne!
Mercredi 24 avril 2013 à 0:53
Samedi 20 avril 2013 à 9:27
Ils n'ont jamais eu autant de sens, je ne les avais jamais entendu de cette façon. Je les ai attendu ces trois petits mots, en espérant qu'ils ne seraient pas prononcés trop tôt comme ca a toujours été le cas. Et je crois bien qu'ils sont arrivés juste au bon moment.
Oui, parce qu'à ce moment la, ils avaient tout leur sens, ils sonnaient vrai, ils sonnaient juste, ils étaient précieux. Ces mots la, si on les dit trop vite et trop souvent perdent ce qu'ils ont de plus beau, ils deviennent banals, presque ennuyeux. Et aujourd'hui, trop de gens les utilisent comme on dirait au revoir. Lui, non. Et moi, encore une fois, j'ai une chance que je n'aurais jamais pensé avoir un jour.
Oui, parce qu'à ce moment la, ils avaient tout leur sens, ils sonnaient vrai, ils sonnaient juste, ils étaient précieux. Ces mots la, si on les dit trop vite et trop souvent perdent ce qu'ils ont de plus beau, ils deviennent banals, presque ennuyeux. Et aujourd'hui, trop de gens les utilisent comme on dirait au revoir. Lui, non. Et moi, encore une fois, j'ai une chance que je n'aurais jamais pensé avoir un jour.
Lundi 15 avril 2013 à 8:57
Ce matin, il fait gris. Dehors, et peut être un peu dedans. Mais peut être, rien que ca. On s'attache, les pauvres petites palissades de notre esprit ne tiennent pas la distance face aux sentiments. Je le savais qu'elles partiraient, et pourtant une fois de plus je n'ai pas été fichue de ne pas tenir à ces petites dindes craintives qui petit à petit sont devenues une partie de mon sourire. C'est un refrain qui m'est devenu un peu trop familier à vrai dire, j'ai beau me dire que m'attacher, aux humains, aux animaux, ce n'est pas la meilleure des idées, je me fais avoir à chaque fois ><'
M'enfin passons, parce que s'il y a une chose dont je sois sure, c'est que ce n'est pas en pleurant sur ceux qui s'en vont qu'on avance. Et je n'ai pas l'intention de rester sur place, non non non. Et cette petite ombre qui vient obscurcir un peu mon joli petit ciel bleu ou galopent des poneys qui chient des arc en ciel se dissipera bien vite. Voui voui voui, j'y tiens à mes poneys et même que des fois, ils mangent des coccinelles.
Brefouille, j'vais aller tirer la langue au vilain ciel gris, histoire de voir si ca pourrait faire venir un peu de soleil et de chaleur dehors. Dedans, à l'idée d'aller faire l'andouille dans les champs avec elle, il est déjà la.
M'enfin passons, parce que s'il y a une chose dont je sois sure, c'est que ce n'est pas en pleurant sur ceux qui s'en vont qu'on avance. Et je n'ai pas l'intention de rester sur place, non non non. Et cette petite ombre qui vient obscurcir un peu mon joli petit ciel bleu ou galopent des poneys qui chient des arc en ciel se dissipera bien vite. Voui voui voui, j'y tiens à mes poneys et même que des fois, ils mangent des coccinelles.
Brefouille, j'vais aller tirer la langue au vilain ciel gris, histoire de voir si ca pourrait faire venir un peu de soleil et de chaleur dehors. Dedans, à l'idée d'aller faire l'andouille dans les champs avec elle, il est déjà la.
Vendredi 12 avril 2013 à 18:48
Oui, ce coup ci, je ne me suis pas loupée. J'ai plané, haut, trop haut. J'ai cru que le rêve pouvait devenir réalité, que ce combat aurait finalement servi à quelque chose. J'ai cru que tu allais revenir. Oui, pour du vrai, j'y ai cru. Et je n'aurais pas du. Mais tu sais comme je suis, une petite étincelle et hop c'est le feu de joie. Elle était la la petite étincelle, on aurait pu, on aurait du s'appartenir. J'aurais du rire à me filer des crampes d'estomac en te voyant faire ton kekos en pâture, j'aurais du pester après tes coups de nez dans le dos qui m'envoyaient systématiquement valdinguer un mètre plus loin, et rire encore de ta tête de petit con mendiant des calins. On aurait du faire encore tant de choses toi et moi mon rouquin. Pardonne moi de n'avoir pas su te rendre tout ce que tu m'as offert, de ne pouvoir t'aider quand tu en aurais besoin.